De ma fenêtre je vois des grilles. Des grilles que le soleil transperce pour laisser passer un rayon de soleil les jours de beau temps. J’y aperçois mes voisins qui se hâtent de rentrer à la maison, des gens passer, j’entends le cri des enfants qui rentrent de l’école, contents d’avoir fini la journée et d’enfin rentrer à la maison.
J’entends également les derniers commérages du quartier : « Comment allez-vous ? », « Comment étaient tes vacances ? » pour les uns, « Tu as vu le nouveau magasin bio rue Fondaudège ? » pour les autres. Bref, les derniers ragots du quartier. Un quartier qui vit grâce à toutes ces conversations. Un quartier où joie, bonne humeur et entraide sont les maîtres mots.
M.