Je n’aime pas le dimanche. Le dimanche, pour moi, c’est la fin de la semaine, du week-end, du repos. C’est le jour des lessives, du ménage, de tout ce que ma procrastination m’a fait repousser jusqu’à ce jour butoir. Alors un dimanche idéal pour moi ce serait un samedi. Une journée que je débute par une grasse matinée, salvatrice, après une semaine de labeur.
Le réveil se fait long, doux, léger, au rythme de la lumière qui baigne de plus en plus mon appartement. Un café à la main, lové dans mon fauteuil, je profite du calme de la fin de matinée, et songe à toutes les possibilités qu’un dimanche après-midi peut m’offrir.
J.